Elisabeth Lévy, en très grande forme, vient de nous offrir deux bijoux de littérature satirique qui épinglent ce qu’elle appelle « la gauche olfactive » et « la gauche lyncheuse ».
Non seulement c’est hilarant, mais cette excellente humeur est aussi celle d’une analyse qui ouvre les fenêtres et fait passer un grand courant d’air sur les « miasmes morbides ». On souhaite à la « pythie médiatique de la réaction droitière » de rester bien campée sur son trépied pour continuer à nous régaler d’exhalaisons apolliniennes. En l’occurrence, le pneuma qui l’inspire n’a rien de magique, c’est tout simplement de l’esprit.
Les deux textes sont en accès libre sur internet :
- Nous sommes partout dans Causeur ;
- La gauche lyncheuse a perdu, dans Figarovox.
PS. Au fait, Mezetulle s’enorgueillit d’avoir décroché la moitié du premier galon de la trilogie « rance-putride-nauséabond », décernée le 21 octobre par Anastasia Vécrin dans un article de Libération qualifiant ses propos d' »un peu rances ». Voir ce commentaire.
© Mezetulle, 2015.